Un propos liminaire si vous le permettez, monsieur le président, afin d’expliquer l’esprit de mes réponses aux amendements à venir.
Vous avez noté que nous venons d’adopter six articles relatifs au foncier, lesquels complètent idéalement ce qui a été fait dans le cadre de la loi d’avenir pour l’agriculture, l’alimentation et la forêt. Ils résultent du travail effectué avec le Sénat pendant la navette parlementaire et d’un dialogue mené avec le Gouvernement qui nous permet aujourd’hui de répondre vraiment à ceux qui voudraient s’accaparer le foncier, qu’ils soient chinois, comme je l’ai dit lors de la présentation du texte, ou gaulois.