J’ai essayé de ne pas trop intervenir dans ce débat, par respect pour le travail du Parlement, mais je souhaite dire un dernier mot sur ce sujet, car c’est aussi une manière de respecter votre travail.
Monsieur de Courson, le dur et le mou sont des notions subjectives, et je ne suis pas sûr que le mot « accessoire » soit beaucoup plus dur que le mot « régulier ».