Je voudrais rester sur les aspects politiques. À l'issue du sommet de Bratislava, le premier ministre italien a déclaré qu'il aurait dû marquer un tournant, mais que cela n'avait pas été le cas. Ce constat d'une forme d'impuissance est-il pertinent ?
Tandis que le Royaume-Uni ne déclenche toujours pas la procédure de l'article 50, il donne aussi son feu vert à la construction de deux réacteurs EPR par un géant européen de l'électricité, à savoir EDF. Ces décisions contrastées ne témoignent-elles pas, selon vous, d'une volonté de dire et de ne pas faire ?