Ce n'est pas exact : le plan Juncker prévoyait la mobilisation de 315 milliards d'euros d'investissements en trois ans et, un an plus tard, nous en sommes à un peu plus de 100 milliards. La mise en oeuvre de ce plan n'est donc pas impossible mais demande que la mobilisation se poursuive.
Enfin, l'organisation française en matière de services financiers est hors de la compétence du SGAE mais nous participons aux discussions. La place de Paris est à l'oeuvre. Une stratégie durable devra être élaborée car il faudra plusieurs années pour que notre place financière parvienne à se doter de la panoplie diversifiée d'instruments que seule Londres, pour l'instant, propose aux entreprises et aux acteurs économiques. Vous avez raison : il est temps de commencer.