Monsieur Claireaux, j’ai entendu les problèmes que vous avez soulevés. Hélas, le droit international s’impose. Hélas, ce problème n’est pas spécifique à la liaison aérienne qui vous concerne : on le rencontre sur presque toutes les liaisons entre l’Hexagone et un territoire ultramarin. Lorsque nous prenons ces lignes, nous devons forcément survoler d’autres pays et, pour ce faire, nous avons besoin d’autorisations. À défaut d’autorisation, nous ne pouvons pas effectuer de trajet aérien. Nous avons bien entendu toutes les conséquences que cette situation peut emporter pour les familles, mais la règle internationale s’impose dans tous les cas de figure – c’est aussi le cas, hélas, dans celui que vous avez évoqué.