Je ne suis pas redondant ou du moins, si je suis, le suis-je autant que le rapporteur. Je maintiens que ma position est pleinement fondée et légitime. Il ne s’agit pas aujourd’hui de considérer que l’État serait l’intervenant majeur et les collectivités des intervenants mineurs. Pour définir les priorités d’un territoire, on peut adopter une situation de copilotage et il n’est pas nécessaire que les collectivités soient placées sous l’égide de l’État. Il peut s’agir d’un partenariat beaucoup plus fructueux et beaucoup plus moderne.