Les arguments sont en effet les mêmes, monsieur le président, et soutenus par la même conviction. Je le dis de façon calme et pondérée, mais insistante : la possibilité, pour notre territoire, de devenir pilote dans l’expérimentation de la pratique sportive comme mode de médication pour ces publics affectés ou infectés relèverait du bon sens et de la bonne politique.