Il ne faut pas, comme vous le faites depuis quatre ans, toujours opposer, non pas la droite à la gauche, mais les patients aux médecins, le privé au public, la médecine libérale à la médecine hospitalière.
Je sais qu’en cette période de fin de mandat, les cadeaux vont se multiplier. (« Oh oui ! » sur les bancs du groupe Les Républicains.) Mais plus que des moyens financiers, la Fédération hospitalière de France vous réclame de la considération, de « la confiance » et une « politique globale ». Pour cela, à mon avis, il est déjà trop tard !