En écoutant le début de votre intervention, monsieur le député, j’ai eu peur que vous m’imputiez les inondations du printemps dernier : le ministre de l’agriculture n’en est pas encore responsable, heureusement…
Vous avez évoqué des crises et plusieurs autres sujets. La fin des quotas sucriers, dois-je le rappeler, a été décidée sous présidence française, en 2008.