J’associe à ma question l’ensemble des parlementaires Républicains de Paris et d’Île-de-France.
Ma question s’adresse à M. le Premier ministre – qui, malheureusement, n’est pas là.
N’en déplaise à Mme Touraine, c’est le général de Gaulle qui, en 1966, inaugurait les voies sur berge, cette prouesse infrastructurelle qui allait permettre enfin de désengorger le centre de Paris.
Un demi-siècle plus tard, avec dix fois plus de véhicules, la maire de Paris décide, sans aucune concertation et en faisant fi de l’avis négatif du commissaire enquêteur, de fermer cette voie pour en faire une aire de détente pour les Parisiens.
Résultat, des milliers de véhicules qui l’utilisaient sont reportés sur les grands axes et les voies adjacentes, créant une véritable thrombose dans le centre de Paris – et je ne vous parle pas des conséquences dramatiques des nouveaux pics, jamais connus, de pollution de l’air consécutifs à l’augmentation des embouteillages,…