, alors qu’elle connaît parfaitement l’état de délabrement des transports en commun, totalement saturés, déficients, insalubres, résultat de dix-sept années d’inaction de la région.
De même, la saturation totale des axes routiers, particulièrement dans l’est parisien, ne laisse plus aucune alternative aux habitants des banlieues pour venir travailler à Paris.
Alors, monsieur le Premier ministre, face à un Grand Paris martyrisé,