Je tiens à préciser très clairement la position du Gouvernement sur ce sujet, dont nous avons parlé plusieurs fois, monsieur le député. Vous connaissez ma sensibilité sur cette question. Les malades ultramarins, en plus d’être soignés loin de leur famille, sont en situation d’isolement. Nous avons déjà mené un travail auprès des hôpitaux publics. Des démarches réelles ont été engagées à l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris, autour du développement de connexions wifi gratuites et de la possibilité pour les malades d’être en lien avec leurs proches grâce à Skype ou WhatsApp.
Je vous propose que nous allions vérifier ensemble l’organisation des points d’accueil où ces dispositifs seront rendus accessibles aux malades. Pour avoir été en contact avec les hôpitaux, je sais pouvoir compter sur leur mobilisation. Avis défavorable.