Je ne peux être que favorable à la commémoration, notamment celle des sans-grade, de ces noms que l’on n’a pas retenus, de toutes ces personnes qui ont souffert dans leur chair de ce crime contre l’humanité. Mais je ne peux m’empêcher de relever une belle contradiction : on est ici d’accord pour que la loi permette de commémorer, mais pas d’enseigner. Vraiment, on n’aura pas été à une contradiction près au cours de ces débats !