Défavorable, car le Conseil national de la montagne et les comités de massif sont bien entendu – c’est leur raison d’être – les interlocuteurs privilégiés de l’État et des collectivités dans la définition et la mise en oeuvre des politiques publiques, y compris en faveur de la montagne. Les chambres consulaires en sont partie prenante et peuvent y jouer un rôle important ; il n’est donc pas utile d’aller plus loin.