Pour ma part, j’aime qu’on m’entende !
Monsieur Pupponi, j’imagine que vous faites allusion aux intercommunalités de Corse – ces problèmes ne se posent guère à Sarcelles… Je suis, sinon au jour le jour, du moins semaine après semaine, les problèmes de l’intercommunalité en Corse : nous en avons déjà réglé beaucoup et nous sommes en train de solutionner les deux problèmes qui restent.
J’en profite pour dire à la représentation nationale que mon cabinet, dirigé par le préfet Sudry, et moi-même, sommes en contact avec tous les préfets des départements où subsistent des problèmes. Chaque fois, nous essayons de mettre de l’huile dans les rouages et de créer les conditions d’un consensus pour les schémas. Reste qu’à un moment, la loi de la République s’applique et il faut trancher.