Cet amendement vise à faciliter le renouvellement des propharmacies. Quatre-vingts communes sont concernées par cette question. Si cela ne paraît pas important, en comparaison des milliers de généralistes et de pharmacies que compte notre pays, cela est essentiel dans les communes concernées. Le « privilège », entre guillemets, de la propharmacie est attaché à un lieu et à une personne. Nous voudrions simplifier les procédures pour prolonger ce service, lors de l’installation d’un nouveau médecin. Les ARS, d’une région à l’autre, font en effet preuve d’une souplesse plus ou moins grande ; or l’équité voudrait qu’une règle soit établie au niveau national.