Je voudrais venir appuyer les demandes de mon collègue Folliot. Dans les zones de montagne, comme chez moi en Lozère, et en particulier dans les secteurs où l’application des quotas ne permet pas l’ouverture d’une officine, ce dispositif très dérogatoire permet à certains médecins généralistes de délivrer des médicaments. L’idée n’est pas de développer ce système à l’envi, mais il est important de conserver cette possibilité.