Cet amendement est intéressant non seulement pour les zones qui, telles la Lozère, sont touchées par la désertification médicale, mais aussi pour les stations de sports d’hiver. En effet la médecine de station de sports d’hiver est très spécifique. Il faut entrer en contact avec les autorités sanitaires, les ARS, pour trouver les moyens de faire perdurer cette médecine, qui fonctionne de manière très irrégulière au cours de l’année. Il s’agit de prendre en charge les traumatismes liés à la pratique des sports d’hiver, mais aussi les populations qui résident toute l’année dans les stations. La concertation demandée par cet amendement est donc particulièrement bienvenue.