Nous n’avons jamais eu autant de médecins en France qu’aujourd’hui, mais ils vieillissent, et les jeunes sont davantage attirés par les centres-villes. Nous devons donc anticiper les formes d’exercice de l’avenir qui séduiront les jeunes professionnels. Tel était le sens de l’action en faveur de structures de coopération. Dans votre département, monsieur le député, dix-neuf maisons pluri-professionnelles de santé ont ouvert, neuf médecins ont d’ores et déjà signé un contrat de praticien territorial de médecine générale – ce sont des médecins nouvellement installés – et soixante étudiants ont souscrit à des bourses pour s’installer prochainement dans les territoires manquant de professionnels.
Nous devons aller plus loin. J’ai d’ores et déjà augmenté le numerus clausus…