Je souhaiterais tout d'abord réagir à quelques-unes des allusions contenues dans votre propos liminaire.
En premier lieu, les arbitrages relatifs aux textes financiers devant être présentés en fin d'année sont assez largement arrêtés, bien qu'un certain nombre de sujets demeurent ouverts pour la loi de finances rectificative. J'imagine que le Parlement apportera sa pierre à l'édifice, notamment sur les sujets que vous avez évoqués.
En second lieu, et je réagis au terme quelque peu provocateur que vous avez utilisé : en patois lorrain, on dirait que vous avez « chtiplé » ; peut-être le dit-on aussi en alsacien, madame Zimmerman…