De ce fait, l’État a aujourd’hui la capacité de s’opposer – je dis bien de s’opposer – à la prise de participation d’actionnaires qui nous paraîtraient mauvais pour la continuité économique et sociale de l’entreprise.
La deuxième arme dont nous disposons, c’est que nous avons la capacité de défendre les intérêts nationaux, les intérêts fondamentaux, les intérêts stratégiques de la France en nous opposant, en refusant qu’un actionnaire qui risquerait de mettre en cause notre indépendance devienne propriétaire d’un grand chantier comme celui-ci.
Voilà pourquoi, au fond, sur ce sujet comme peut-être sur d’autres, nous pouvons nous battre ensemble pour défendre l’intérêt de la France.