Et quand certains évoquent le rétablissement de la défiscalisation des heures supplémentaires, c’est au prix d’une formidable mystification puisque la durée du travail serait rallongée !
Inversement, cette trajectoire voulue depuis 2012, ce n’était pas le désir de respecter un dogme, mais celui de retrouver notre souveraineté financière. En 2007, 2,6 % de la richesse produite en France s’envolait dans les remboursements de nos intérêts d’emprunt. Ce n’était plus que 2,2 % sur l’exercice passé, soit une économie de 12 milliards.
Des milliards pour financer la solidarité. Des milliards pour financer nos priorités : l’éducation, l’emploi, la sécurité. Des milliards pour financer une nouvelle baisse de la fiscalité des Français. Des milliards pour financer un nouveau crédit d’impôt pour les personnes âgées modestes leur permettant de financer 50 % de l’aide à domicile dont elles ont besoin.
Ces cinq années auront permis d’établir cette simple démonstration : le sérieux peut être juste.