Le groupe socialiste, in fine, se demande s’il faut s’en tenir au dispositif existant ou le modifier. Bruno Le Roux et moi-même en avons longuement discuté avec Michel Sapin et Christian Eckert. En l’état, leur avons-nous dit, nonobstant l’absence de visibilité et de recul, il apparaissait d’ores et déjà nécessaire de limiter les abus les plus manifestes. Cela ne signifie pas qu’il ne faudra pas, plus tard, lorsque nous aurons plus de recul, aller plus loin si nécessaire.