C’est vrai !
Il y a vraiment là une iniquité et je suis heureux que Mme la rapporteure générale en convienne. Notre administration, technocratique et éloignée de ce que vivent nos compatriotes, s’assoit sur ces réalités et ne veut surtout pas se lever en raison des enjeux financiers sous-jacents. Je vous le dis très gentiment, monsieur le secrétaire d’État : notre rôle est aussi de faire respecter à la fois l’équité et la logique des dispositifs que nous votons.