Or, celle qui est présente dans ma circonscription, par exemple, ne peut pas prendre en charge les interventions auprès des vétérinaires, et c’est également le cas dans de nombreux autres endroits. C’est impossible ! Le système ne marche pas. Il nous faut ouvrir une réflexion sur le sujet, afin de sortir de la logique du laisser-faire, qui aboutit à de plus en plus d’abandons, de dépenses publiques et, en définitive, à une maltraitance animale puisque le nombre d’euthanasies ne cesse d’augmenter. Je maintiens donc cet amendement.