Tout d’abord, monsieur le président Carrez, cet amendement n’est pas le fruit de remords que j’aurais eus. Vous avez eu la gentillesse de rappeler que les Lorrains savent parfois être têtus – c’est pour moi une qualité. De fait, certaines dispositions adoptées par l’Assemblée l’ont parfois été sous l’impulsion du rapporteur général de l’époque, que j’ai bien connu.