Je serai très brève, car mes collègues, en lisant l’exposé sommaire de leurs amendements, ont déjà tout dit. On se demande, monsieur le secrétaire d’État, quelles mesures vous allez encore prendre contre la politique familiale, qui a pourtant toujours été une force de notre pays ! La réalité, c’est que notre taux de natalité est moins important, moins confortable qu’il n’était il y a dix ans. Cela pose des difficultés dans certains territoires quant aux effectifs scolaires, notamment dans les collèges.
Les signaux négatifs envoyés en matière de politique familiale ont un impact réel sur la démographie. Cette mesure, ajoutée à d’autres, donne aux familles le sentiment qu’elles sont les mal-aimées de ce gouvernement. Même si elle n’est pas très importante sur le plan budgétaire, c’est un signal négatif que vous envoyez à toutes les familles de France.