Ce serait un débat intéressant, mais aujourd’hui, en l’absence de réforme, on se reporte sur cette fraction de la TOCE qui n’est pas une recette intégralement affectée. Le montant affecté à l’audiovisuel public est fixé en valeur absolue : cette recette n’a donc aucun dynamisme, aucune pérennité, aucune garantie puisqu’elle peut faire l’objet d’une régulation. C’est l’inverse de ce que nous voulons pour assurer l’indépendance de l’audiovisuel public.