Parce qu’il y a un exercice qui s’appelle la primaire, vous êtes en train de verser des larmes de crocodile sur le sort de ceux que vous n’avez cessé d’affaiblir par les décisions budgétaires et politiques que vous avez prises.
Alors je vous le dis, monsieur le député, les policiers, je les rencontre tous les jours et ce depuis des années.