Ils l’ont d’ailleurs fait, pacifiquement, au début du mois. Cependant, qu’une minorité, davantage rompue à combattre toute forme d’autorité et pour laquelle, rappelons-le, les considérations locales et environnementales sont accessoires, menace de mort des élus et des journalistes et s’oppose par la force à la réalisation d’un projet légal que la population, les acteurs économiques et les élus locaux appellent de leurs voeux, voilà qui serait parfaitement incompréhensible et intolérable.
Les personnes qui occupent illégalement les emprises doivent désormais partir.