Lorsque nous mettons en place les groupements hospitaliers territoriaux et que nous développons la chirurgie ambulatoire, je crois que l’on peut clairement parler de réformes de structure. Les résultats sont là.
Cela me permet de revenir sur un point que vous avez développé : vous avez demandé ce qu’il en était du déficit des hôpitaux – en mélangeant d’ailleurs un peu déficit et dette. Qu’en est-il donc ? La dette cumulée des hôpitaux, aujourd’hui, se stabilise : en 2015, elle était de 29,2 milliards.