Ce n’est pas nouveau : beaucoup de députés – comme Pascal Terrasse et d’autres – présents ici ont travaillé sur cette question. Nous devons effectivement réfléchir à la nécessité ou non de s’affilier, ainsi qu’au moment comme au seuil d’activité opportuns pour le faire.
Il faut définir le partage de frais comme le revenu : c’est à cette tâche que nous appelons le Parlement.