Se pose la question de la capacité à vérifier et à contenir les exactions commises à la fois par les militaires maliens et les armées tchadiennes, dont on connaît la brutalité et les problèmes qu'elles ont rencontrés avec une partie de la population vivant sur leur territoire.
S'agissant des objectifs de guerre, quelle zone l'armée française va-t-elle contrôler, sachant que les djihadistes qui se sont dispersés peuvent revenir ?
Enfin, les conditions seront-elles réunies pour que la MISMA soit opérationnelle en 2013, comme prévu, et que notre armée laisse la place aux armées africaines, sachant que la seule d'entre elles capable de mener une guerre du désert est celle du Tchad ?