…mais au contraire de faire en sorte que notre pays puisse aujourd’hui s’enorgueillir d’avoir permis au plus grand nombre de malades, notamment à ceux qui étaient concernés de la manière la plus urgente par l’hépatite C, de bénéficier d’un traitement radical, d’un traitement de rupture. Une amie personnelle, qui n’en est qu’au stade F2 de la maladie – c’est-à-dire, pour les spécialistes, celui du malade asymptomatique, présentant seulement des signes biologiques –, a ainsi pu avoir accès, le mois dernier, à ce traitement.