Madame la députée, merci pour votre question. J’ai senti la tentation, chez vous, de faire la réponse à ma place ; aussi essaierai-je d’être le plus précis possible. D’abord, que faut-il faire et que faisons-nous ? Comme je vous estime trop pour vous contrarier, je n’évoquerai pas les sujets que vous ne voulez pas que j’évoque, même s’ils correspondent à une réalité.