Je demande donc pour eux, parce qu’ils le méritent, comme les gendarmes qui ont été agressés en Nouvelle-Calédonie, qu’on puisse dire une chose simple : que ces agressions sont inacceptables et que les policiers et les gendarmes de France, en raison de l’uniforme qu’ils portent, sont attachés aux valeurs de la République et à l’État de droit plus que tout autre, parce qu’ils savent ce que signifie l’abandon de ces principes, lequel se traduit par une violence à leur encontre.