Ensuite, s’agissant de la gestion des grands prédateurs, notamment le loup, je concède bien volontiers que vous êtes allés plus loin, madame la ministre, que la précédente majorité aux côtés des éleveurs. Enfin, je salue votre politique pour relever le défi de la qualité de l’air, même si les avions, notamment les avions d’affaires, volant à basse altitude – à moins de 1 200 mètres ou à 1 200 mètres dans les zones les plus peuplées – n’ont jamais été aussi nombreux dans notre pays. Je pense bien évidemment à l’aéroport du Bourget, qui est l’un des points noirs qu’il nous faudra traiter.