J’ai l’exemple, dans ma circonscription, d’un agriculteur qui est au bout du rouleau. Chaque fois que j’appelle l’administration, celle-ci se montre de très bonne volonté, elle voudrait bien pouvoir payer, mais se heurte à une complexité encore accrue par les nouvelles régions, qui ont parfois changé les critères ou les réserves. C’est ainsi que nous avons des cas dramatiques qui remontent à deux ans.
S’agissant du logiciel Louvois, monsieur le rapporteur pour avis, je crois savoir, pour siéger dans une autre commission, que ce ne sont pas des informaticiens de l’État qui sont mis en cause, mais bien plutôt des sociétés privées mandatées pour réaliser ce système qui s’avère un énorme plantage.