Madame la députée, vous me posez plusieurs questions en une et je serai attentif à être, là encore, le plus précis possible.
S’agissant tout d’abord des mosquées, j’ai indiqué à plusieurs reprises devant la représentation nationale que le ministère de l’intérieur, dans le respect rigoureux des textes en vigueur, procédait à la fermeture des lieux de culte dont les associations qui les gèrent, ou les prédicateurs, appellent à la haine ou provoquent au terrorisme.
Je fais ce que j’ai indiqué, sans vacarme, sans bruit, parce que j’entends beaucoup de vacarme et de bruit de la part de personnes qui n’ont jamais fermé une seule mosquée lorsqu’elles étaient aux responsabilités.