Monsieur Lefebvre, je ne suis ni dérangé ni choqué que vous m’interrompiez. Simplement, nous avons déjà passé beaucoup de temps en commission élargie, et encore ici ce soir, pour expliquer les efforts significatifs faits cette année. Si une tendance à la baisse se dessinait, il est clair qu’elle a été stoppée : je vous remercie d’ailleurs, monsieur Mariani d’avoir eu l’honnêteté de le reconnaître. Et je prends des engagements concrets.
Il n’en demeure pas moins que la solution que vous avez trouvée, et qui consiste à gager votre augmentation de dépenses sur la suppression de notre contribution au Conseil de l’Europe, est impossible à mettre en oeuvre.