Envisagés dès 2017, ils seront financés par l’intermédiaire de plusieurs programmes. Ces bureaux expérimentaux devraient en principe permettre de colocaliser les services d’opérateurs, comme Business France ou les Alliances françaises. Selon les besoins, ils pourront comporter des services consulaires de proximité – un enjeu majeur pour la population. Le premier bureau de ce type pourrait être expérimenté en Indonésie, à Bali ; d’autres formules, avec des consulats honoraires, pourraient également être tentées. Je pense en particulier à l’Australie, que nous avons évoquée tout à l’heure à propos des déplacements de plus de quatre heures. On ouvrirait un bureau à Sydney, mais aussi à Chennai, en Inde.
L’idée de ce dispositif correspond parfaitement à ce que vous proposez. Ces bureaux devraient en principe ouvrir dès 2017 ; sept ou huit sites sont aujourd’hui identifiés pour le volet expérimental. Je suis d’accord avec vous, monsieur Lefebvre : la France dispose d’un réseau diplomatique d’influence remarquable, ce qui n’est pas le cas de nos amis anglais ni d’autres États qui ont décidé de réduire leur présence. S’il s’agit de se demander comment donner accès à nos services aux ressortissants français, les bureaux de France seront là pour répondre à votre interrogation.