Monsieur le Premier ministre, nos forces de police et de gendarmerie n’en peuvent plus ! Elles sont éreintées par les charges qui pèsent sur elles et par les événements si graves qui les contraignent à une activité surdimensionnée. Je tiens, ici, au nom de beaucoup d’entre nous – probablement la totalité d’entre nous – à leur dire une fois de plus notre soutien, et combien nous admirons leurs efforts.