Monsieur le député, je vous réponds d’un mot, car votre assemblée a déjà eu l’occasion d’aborder ces débats. Mon sentiment, sec et bref, est le suivant : j’en ai assez de tous ceux qui, dans la vie politique, mettent constamment en cause les élus locaux, les parlementaires, les membres des gouvernements et des cabinets ministériels.