Esprit de responsabilité, également, en ce qui concerne notre jeunesse. L’immense majorité de la jeunesse calédonienne – de toutes les ethnies – réussit à s’insérer en dépit d’un contexte économique difficile. Une part de cette jeunesse, issue notamment des 600 jeunes qui, chaque année, sortent de notre système scolaire sans qualification, sans diplôme et sans emploi, est aujourd’hui laissée sur le bord de la route. Nous devons l’accompagner, État et collectivités calédoniennes unis.
Voilà pourquoi, madame la ministre, ma question est la suivante : quelles sont les mesures auxquelles l’État entend donner corps, dans le prolongement de la réunion du comité des signataires qui s’est tenue le 7 novembre, pour accompagner les collectivités calédoniennes dans les politiques qu’elles mènent en matière de jeunesse, de prévention de la délinquance et en ce qui concerne Saint-Louis ?