Je suis bien conscient que le droit d’amendement est constitutionnel, monsieur le député Sansu : je vous l’ai dit avec respect, amitié et, je le crois, suffisamment de précautions.
Je souhaite dire ceci à Mme Sas : il est arrivé que mes enfants me demandent de changer de voiture. Je leur ai répondu : « Cette année, on ne peut pas : je n’ai pas l’argent ». Ils me l’ont redemandé l’année d’après. Je leur ai répondu : « Je ne peux toujours pas, on n’a pas l’argent ». Puis, la troisième année, je leur ai dit : « Cette année, on peut changer de voiture ! »