Lors d’un déplacement en Corse, le Premier ministre a pris un certain nombre d’engagements, parmi lesquels figurait la majoration du crédit d’impôt corse, mais pas l’extension de son assiette.
Je sais bien qu’à chaque geste positif, on nous en demande un plus grand. Les incidences budgétaires ne sont pas massives, mais il existe tout de même des dispositifs très spécifiques en Corse : il est sage de s’en tenir au niveau auquel nous sommes aujourd’hui parvenus.
Si l’amendement était maintenu, l’avis du Gouvernement serait défavorable.