Lors de notre débat en commission, l’argument essentiel était celui du coût de ce représentant fiscal. Il semble que certaines personnes aient suivi nos débats en commission des finances, puisqu’on m’a transmis d’autres chiffres sur le coût d’un représentant fiscal.
M. le secrétaire d’État vient de nous dire que le représentant fiscal ne fait pas que calculer l’impôt éventuel, mais qu’il contrôle aussi l’existence, ou non, de la plus-value.
Dans ces conditions, je vais retirer l’amendement no 778 , même si je reconnais que la commission l’avait adopté. Elle l’avait fait en se fondant sur le coût indiqué par Mme Schmid.