Nous avons travaillé avec le ministère de la fonction publique sur la situation des agents en poste à l’étranger. Disons-le pudiquement, un certain nombre d’indemnisations dont bénéficient des fonctionnaires localisés à l’étranger pourraient être réexaminées.
Certes, pour des fonctionnaires envoyés dans des pays très éloignés, où la vie est chère, où les risques sont importants, y compris physiques, il est normal de prévoir des compensations, mais il n’est pas sûr par exemple qu’il soit justifié d’accorder de fortes bonifications de salaire à des Français obligés de se loger à Bruxelles, même si les loyers y sont probablement élevés.
Cela concerne 400 agents et nous en attendons une économie de 280 000 euros.