Merci de votre analyse très éclairante, monsieur Rupnik. Compte tenu des grands défis auxquels nous sommes confrontés, nous ne pouvons faire l'impasse sur les Balkans avec lesquels nous entretenons des liens forts. Nous avons un intérêt puissant, en tant qu'Européens et en tant que Français, à ce que ces pays procèdent aux réformes qui s'imposent.
Je vais maintenant donner la parole à Pierre-Yves Le Borgn', rapporteur de la mission d'information sur les Balkans, sur le rapport duquel nous allons examiner, le 29 novembre prochain, le projet de traité d'adhésion du Monténégro à l'OTAN.