J'ai pris la décision de réunir une table ronde avec des intervenants qui ont défendu des points de vue similaires sans être véritablement confrontés à des contradicteurs. Je peux me tromper, mais je pense que c'est l'application des textes qui constitue un problème. Cela ressort, malgré tout, des interventions des parlementaires qui sont présents sur le terrain.
Je préside un comité de pilotage qui prépare un contrat territorial : je sais bien comment les choses se passent. Je vis régulièrement des réunions particulièrement houleuses et, à chaque fois, des intervenants claquent la porte. Je trouve que tout cela est très déstabilisant. Il faut trouver le chemin ; je suis persuadé qu'il existe. Aujourd'hui, certains positionnements sont excessifs – je ne fais de procès à personne –, et, bien que nécessaire, le dialogue environnemental, dont parlait Mme Sabine Buis, n'existe pas.